Poussière de fée .. | Libre |

De la poussière tombait des arbres.
Une poussière brillantes au soleil.
Pas n'importe qu'elle poussière.
De la poussière de fée.

Avec l'agilité d'un chat, une petite fée marchait entre les feuilles qui pour elle, étaient énorme. Petit point lumineux dans cette partie de la journée. Le soleil se couchait et les doux relfets orangée de la fin de journée retombait sur les collines avec une grâce et une harmonie des plus majestueuse. Chaque jour la petite fée venait voir ce couché de soleil à cet endroit précis, car c'est de là qu'il était le plus beau. Un petit sourire s'afficha sur ses fines lèvres dorée, ses long cheveux bruns descendait en cascade dans son dos, ses vêtements était vert, des chaussettes hautesverte et blanche ainsi qu'un haut vert - tout comme sur la signa' - elle s'assit sur une branche base, regardant l'agitation des elfes dans la forêt, elle ne comprenait pas ce qui c'était passé, mais apparement cela était assez grave. Dans la langue des elfes, Elwing comrpenait tout, mais de là où elle était elle n'entendait pas grand chose, mais elle ne voulait pas s'approcher plus d'eux bien que les elfes restent de bons alliés avec les fées, les humains aussi mais c'est dans la nature de Elwing, partir dés qu'elle voit d'autres personnes. Restan tperché sur sa branche, la petite fée raplia ses jambes pour pouvoir poser sa tête dessus, et continua son observation des lieux.

En effet, une événement grave était arrivé chez les elfes, une jeune elfe venait de trahir son peuple. Celle ci, ne voulant pas retourner chez elle pour subir la punition qui l'y attend, s'enfuit, pas pour bien longtemps, mais pour prendre le temps de réfléchir. Courant sans bruit entre les arbres, qui même eux ne semble pas de son côté. Elle use d'agilité pour ne pas trébucher, de vitesse pour ne pas être rattrapée. Amayelle, car tel est son nom finit par s'arrêter, ses cheveux blonds sont emmêlés, elle porte une tenue typiquement elfique, uniquement dans les tons verts. Il s'agit d'une robe, arrivant plus ou moins a la mi-cuisse, ainsi que de très haute bottes vertes ( voir la sign' ) Elle ne savait plus quoi faire, et espérait juste ne pas être rattrapée trop rapidement. Elle n'avait pas remarqué la fée perchée dans un arbre, et elle s'assit justement en dessous de celui ci. Quelle bêtise elle avait fait de tomber amoureuse de cet humain, personne ne la comprend. Elle resta adossée contre l'arbre sans bouger, sans un mot, sans rien faire un pendant de longue minutes, puis les larmes qu'elle avait réussi a chassé revinrent, et elle ne put les contenir. Que pouvait-elle faire maintenant? Fuir a tout jamais son peuple, et cette forêt qu'elle chérie tant? Non elle ne le peux pas, retourner chez elle subir la punition qui l'attend? Elle ne le peut pas non plus... Alors, a choisir, autant que se soit eux qui viennent la chercher, sinon elle restera dans la forêt, a changer toujours d'endroit, telle une nomade.

Telle une ombre scintillante.
Telle une étoile filante.
Elle se mit à voler.

De fine perle d'eau coulait du visage d'une jeune elfe. Si Elwing avait su qu'elle ressentait les chagrins des autres, jamais elle ne serrait venue ici. Trop de peine vivait dans cette forêt, mais son coeur lui disait d'aller voir cette elfe, de lui parler, voir le problème, peut être même pouvoir l'aider. La petite princesse descendit de son arbre en volant. Petit point lumineux que l'on ne savait pas voir vraiment tellement la vitesse de cette fée était rapide. Elle arrivait en bas, arrivant à hauteur du visage de l'elfe. Elwing fut tentée de fuir, mais il lui était impossible de la laisser ainsi, il ne lui était plus possible de faire demi-tour. D'un petit geste de la main, elle enleva les larmes que l'elfe avait sur le visage. Tout en battant doucement des ailes. Une fois les larmes de l'elfe sécher, Elwing se posa sur le genoux de l'elfe, attendant une parole, un geste.

Alors que l'elfe continuait de se poser ces questions, qu'elle retournait dans tous les sens dans sa tête, elle vit comme une pluie d'étincelles, alors elle sût qu'une fée était près d'elle. Où? Elle ne sût pas le voir tout de suite. Enfin, elle sentit ses larmes comme s'effacer, et sentit a peine la fée se poser sur un de ses genoux. Elle posa ses yeux bleus, brillant, mais brillant de tristesse. Elle vit sur son genoux une fée qui la regardait. Visiblement, elle attendait que se soit l'elfe qui face un geste, ou dise quelque chose en premier. Amayelle la regarda un moment, puis elle finit par dire dans la langue des fées, car puisqu'elle la connaît et qu'elle ne sait pas si la fée comprend l'elfique:

>> Que me veux-tu?

Sa voix tremblait légèrement, non pas de peur, loin de là, simplement car elle se retenait de pleurer. Sa question n'avait aucun accent de méfiance, ou de méchanceté, simplement de la curiausité.

Elwing lui sourit, parler n'était pas le plus fort chez elle, elle ne trouvait pas toujours les bons mots pour consoler quelqu'un, mais c'était toujours mieux que rien. La petite fée plongea son regard brun étincelant dans les yeux bleus et brillants de l'elfe.
Elwing la regarda avec un petit sourire sur son visage, elle repoussa les longues bouclés dorée de ses cheveux avant de prendre la parole dans la lanque elfique, une petite voix, mais claire comme de l'eau et aussi douce que la plus belle des étoffes.

- Il y a deux réponses à ta question, comme à toutes les questions, cette du savant et celle du poète. Laquelle veux-tu entendre en premier ?

C'était la chose la plus typique chez Elwing, elle avait toujours deux réponses à chaque questions, une poétique et une savante.
A chaque fois cette petite phrase venait aux questions qu'ele jugeait plutôt bien, car là, l'elfe doit vraiment se demander pourquoi une fée devrait lui venir en aide, alors Elwing lui expliquera à sa manière par deux réponses différentes mais vraie par dessus tout.

Amayelle continuait de regarder la fée, et celle ci lui répondit en elfique, la langue de la vérité, elle ne devait donc pas craindre qu'elle lui mentit. Elle écouta sa réponse, et lui répondit sans hésité, en elfique:

>> Celle du poète

Cette fée l'intriguait, pour plusieurs raisons. Premièrement, elle vient près d'elle, pour l'aider? Elle n'en sais rien, puisque la fée ne disais rien. Deuxièmement, sa réponse. Enfin, t'en mieux, ça " distrait " un peu la jeune elfe, l'empêche de continuer a se torturer l'esprit avec des questions sans réponses.

Pas un bruit autour d'elles, pas même un oiseau, car il semblerait que les oiseaux aient décidé d'écouter ce qui se passe, au lieu de continuer a chanter leur chants joyeux, qui soulagent Amayelle. Même le vent s'est tu, il ne souffle plus dans les branches de arbres, certainement pas pour la fée et l'elfe, mais plutôt pour le conseil qui se tient au village de l'elfe...

Les oiseaux se turent on aurait dit que la forêt s'endormait sous un charme d'une beauté indéscriptible, alors que l'elfe semblait de plus en plus inquiète, la fée restait confiante et choisissait avec soins les mots qu'elle allait utiliser afon de répondre à l'elfe de manière précise. Au bout de longue minutes de silence car même le vent qui soufflait avec force dans les épais branchages avait décidé de se taire, Elwing prit la parole, sa voix était douce, et tout aussi claire que de l'eau s'écoulant le long des rochers de la rivière d'Erla.

- Les larmes ne sont que tristesse, il est temps de sourire à nouveau.

La petite fée se mit assise en tailleur sur le genoux de l'elfe, sa petite taille lui permettait bien des choses, mais jamais elle n'avait osé espionné ou quelque chose dans le genre qui pourrait mettre sa vie en péril. Elwing préférait de loin reconforter les gens, leur venir en aide avec ses deux réponses pour n'importe questions qu'on lui poserait. la petite fée était toujours d'une grande joie de vivre même dans les pires moments de la vie. Même si elle est une princesse, Elwing aime beaucoup donné un coup de main pour les travaux pratique, elle préfère tout faire lle même que de laisser quelqu'un le faire à sa place. Elle placa ses mains sur ses genoux, elle paraissait seraine et entourée d'une légère petite lumière verte et blanche, elle transmit un peu de bonheur à l'elfe, espérant que sa cacherait un peu sa tristesse car Elwing n'aura jamais assez d'énergie pour lui fournir tout le bonheur que cette inconnue trsite voudrait.

La jeune elfe écouta la réponse de la fée, après ce moment de silence. Sourire... D'habitude elle aussi est optimiste, elle n'aime pas la tristesse, mais elle non, pas en ce moment... Elle répondit a la fée:

>> Je n'ai pas le coeur a sourire en ce moment...

La fée est bien gentille d'essayer de la consoler, mais a ce problème, elle ne voit pas de solution pour le moment... Elle prie intérieurement pour que ceux de son peuple ne la trouve pas, qu'ils ne la cherchent pas, mais elle sait qu'ils la cherchent, elle le sent. Elle remit une mèche blonde rebelle derrière une de ses oreilles pointues, et elle se prit a envier cette fée, sa taille. Si elle était si petite, elle pourrait se cacher bien plus facilement... Elle se sentit toute fois un peu moins triste sur le moment, elle se détend un peu, elle ne sait pas comment ça se fait, mais elle suppose que c'est la fée

Une petite brise vient lui repousser ses boucles dorés sur ses épaules, d'un simple ordre dans sa tête, les cheveux de la petite fée se remirent en place. Elwing prit une mine pleine de compassion, elle ne suportait pas la peine de cet elfe. Elle reprit la parole directement une fois que l'elfe se sentit un peu 'mieux' grâce à ce petit transfert que la fée venait de faire. Une nouvelle fois, sa douce voix claire comme de l'eau se fit entendre, pour le plaisir des oiseaux qui c'étaient un peu rapprocher.

- Dit moi ô douce guerrière de la forêt, pourque toutes ces perles d'eau sur ton visage ?

Elwing regarda l'elfe un instant, puis se remit à volé, car l'approche d'autre elfes la faisaient frissoner d'angoisse. Remontant dans son arbre, la petite fée attendit que les elfes arrivent, regardent en direction de l'elfe que Elwing essaye d'aidé puis reparte, sans même un regard de gentillesse pour cette pauvre guerrière de la forêt.

Amayelle allait répondre a la fée, quand un murmure parcouru les arbres, annonçant a l'elfe que des elfes arrivaient, la fée l'avait senti aussi, car elle remonta dans l'arbre, où elle se trouvait quand la jeune elfe était arrivée. Amayelle ne bougea pas, resta assise où elle est en regardant le sol a côté d'elle, sans vraiment le regarder en réalité. Ceux de son peuple arrivèrent, un petit groupe de guerriers pas encore très avertis, mais a qui on avait demandé de retrouvé la traîtresse. Elle ne tourna même pas la tête vers elle, et ceux-ci, l'ayant trouvé coururent chercher les plus anciens. Les elfes courant naturellement vite, Amayelle n'a plus beaucoup de temps avant qu'on vienne la chercher. Elle renonce a fuir, a quoi bon? Lorsqu'ils furent parti, Amayelle leva la tête vers le haut des arbres, regarda un instant les branches se balancer au rythme du vent, calme pour le moment, puis, elle répondit a la question de la fée:

>> Une erreur, une seule, peut causer bien des soucis, mon erreur a été d'aimer un Homme.

Elle repensa a ce qu'elle lui a dit pour le faire partir, elle s'était efforcée de lui faire croire qu'elle ne l'aimait plus, et il a du la croire pour partir, et elle a vu dans ses yeux qu'il était malheureux, par sa faute, uniquement sa faute...

L'elfe lui répondit qu'elle avait fait une erreur, aimer un ... Homme ??!! Elwing regarda l'elfe, troublée par cette réponse, la fée ne tenait plus en place, eux qui les avait chassé il y a si longtemps ! Comment cette elfe pouvait en aimé un ? Elwing descendit une fois les elfes partit, elle descendit vers l'elfe, et se posa sur sa tête. Comprennant rapidemment toute l'histoire. L'elfe aima un homme, elle fut découverte avec lui et maintenant elle attend un jugement. La petite fée, prit une boucle de cheveux de l'elfe et la tressa rapidemment, une fine tresse glissa entre les méches blonde de l'elfe, puis d'une voix douce, Elwing reprit la parole dans la langue des fées.

- Pour toi la tresse de la chance soeur de la forêt. Aussi pourra t-elle te protéger du Mauvais Oeil. Je ne te promet irne, ou un peu de chance.

Amayelle vit la fée redescendre et elle se mit sur sa tête. Elle arrêta de regarder les feuilles, et sentais que la fée faisait quelque chose avec une mèche de ses cheveux, et attendit qu'elle arrête, et là la fée lui dit ce qu'elle allait lui demander, dans la langue des fées. L'elfe esquissa un sourire et lui répondit dans sa langue:

>> Merci amie des bois

Ce n'est peut-être pas grand chose, mais pour la jeune elfe, c'est déjà beaucoup. Un peu de chance... Qui sait ce que ça pourrait changer. Elle entendit son nom appelé, elle tourna légèrement la tête dans la direction du bruit, mais ne se leva pas, ils n'ont qu'à venir la chercher!