Nouvelle rencontre ( je sais pas original =x) [ pv Eawen ]

Une jeune elfe aux longs cheveux blonds se balade dans la forêt d'Erla. Une robe verte longue jusque mis cuisse, une ceinture a la taille où est accrochée une flûte en bois, longue d'une vingtaine de centimètre et où il n'y a que trois trou tout au bout de la flûte. Elle porte de grandes bottes vertes, assortie a sa tenue, qui remontent un peu au dessus de ses genoux. Elle a quelques mèches roses clair dans ses cheveux blonds, elle les a toujours eut, elle ne sait pas trop pourquoi et elle a des yeux bleus clairs. Dans son dos, son carquois, blancs avec des gravures elfiques, un bon nombre de flèches a l'intérieurs, ainsi que son arc, en bois blancs assorti a son carquois, et également avec des gravures elfiques. Elle ne s'en sépare jamais, ni de sa flûte, ne sachant jamais sur qui, ou sur quoi elle peut tomber.

Amayelle se balade simplement au milieu des arbres, dans un coin où il n'y a généralement pas beaucoup de monde. Elle a simplement besoin d'un petit moment de solitude. La jeune elfe est tombée récemment amoureuse d'un humain, elle sait ho combien c'est grave. Elle aurait du le chasser de la forêt, mais au lieu de cela, elle a fait connaissance avec. Personne n'est au courant de cette relation, et il est impératif que cela reste secret, mais ça la tourmente. Elle ne sait pas comment faire pour voir cet humain plus souvent, et sans être vue. D'autant plus, qu'elle est souvent dans ses pensées, alors son père commence a se demander quoi. La jeune elfe blonde réfléchi donc a son dilem en marchant.

Mais un bruit attire son attention et la sort de ses pensées. Elle relève la tête et regarde autour d'elle, attendant le moindre signe de vie, que quelqu'un est là, même si il s'agit d'un animal.

La douce lumière de la lune se reflétait sur la surface d'un petit ruisseau, cette douce lumière aurait fait croire à n'importe qui que cette source était d'argent. Un arc ainsi qu'un carquois blanc rempli de flèche dans le dos, c'est une jeune elfe qui, assise près du ruisseau, s'amusait avec les reflets de l'eau. Un rire cristalin, envoûtant pour beaucoup d'humain, pour les elfes, c'était simplement un rire, quoi de plus normal. Une robe blanche ornée de fleurs lui descendant jusqu'aux pieds et des bottes , ainsi est aujourd'hui Earwen. La jeune fille de la mer. C'est ainsi qu'on devrait l'appellé dans la langue des humains car Earwen veut dire la jeune fille de la mer. Et aussi, une cheval blanc l'attendait, près du ruisseau il s'abreuvait, l'harnachement était très fin, argenté, la selle était simple, la plus légère possible en cas de course pour rattrapé un quelconque individu, ce cheval n'était pas comme les autres bien entendu, ils sont dotés d'un peu plus d'intelligence que les chevaux des humains. Après un bon moment à avoir joué tel une enfant avec l'eau, l'elfe alla vers son cheval et se hissa avec souplesse sur la selle, sa robe se mit avec élégance sur la croupe du cheval, en amazone l'elfe avait belle allure, une fois prête, elle mit le cheval elfique en marche, et ainsi commença une nouvelle aventure entre les arbres.
Tout en continuant à marcher, elle entendit des bruits provenant d'un autre endroit, de suite, Earwen fit virevolté son cheval et s'en alla du côté des bruits de pas, une fois arrivé, elle découvrit une autre elfe, de suite, Earwen porta deux doigts à ses lèvres, signe qu'elle ne mentirait pas.

- N'ai crainte, je ne suis pas ennemie.

Dit-elle dans sa langue natale qu'est l'elfique, elle attendait la réponse de l'autre elfe, signe de respect et de politesse.

Amayelle vit bientôt approcher dans l'obscurité une cheval blanc, et sur son dos une elfe portant une belle robe blanche. Celle-ci porta immédiatement deux doigts a ses lèvres, signe de respect et de vérité chez les elfes. Amayelle, ou fille enchantée dans la langue des humains porta a son tour deux doigts de sa main droite à ses lèvres et dit dans cette belle langue, sa langue natal qu'est l'elfique:

>> Tu m'en vois ravie

En effet, Amayelle n'avait pas du tout envie de devoir user de sa magie, et encore moins de son arc pour devoir se défendre contre un éventuel ennemi. Elle reprit de sa vois cristalline, et calme, un calme dont elle ne se défait jamais:

>> Mon nom est Amayelle, et toi?

Elle regarda un instant le cheval blanc, aimant particulièrement les animaux, elle sourit. Si elle devait monter, pour elle se serait a cru, sans avoir besoin de cet harnachement, elle a appris depuis longtemps a comprendre et à se faire comprendre par les animaux

L'elfe resta en selle, la lumière de la lune donnait un aspect d'argent au cheval, l'harnachement simple et très fin brillait de mille feux, mais l'harnachement n'est là que pour que l'elfe tienne mieux lors d'une course poursuite, il est toujours préférable de mieux tenir pour mieux coincé son ennemi. Avec calme, l'autre elfe porta à son tour deux doigts à ses lèvres. Et lui répondit aussi en elfique, Earwen inclina la tête en un simple salut avant de la relever, pour elle tous les elfes sont les m^mee, il n'y à pas de roi ou de reine, même si il y en à un et une, pour elle tous ont droit au même respect que les autres. L'autre elfe se présenta, Earwen sourit elle aussi avant de répondre à son tour avec un léger sourire.

- Mon compagnon se nomme Astaldo, et je me nomme Earwen.

Elle resta en selle sur Le Vaillant comme ont dirait dire le nom de son cheval en langue humaine. Astaldo est bien plus harmonieux et bien plus beaux que de dire Le Vaillant. Même si se titre est pour des chevaux noble, Astaldo restera Astaldo. Doucement, la jeune elfe caressa l'encolure du cheval blanc. Puis après quelque minutes elle reporta son regard sur Amayelle un peu plus loin devant elle.

Amayelle sourit et répondit simplement:

>> Enchantée

Habituée a montrer les même signe de politesse et de respect a tous les elfes. Elle ne sait même pas si il y a un roi ou une reine chez les elfes, ça n'est pas impossible, quoi qu'il en sois ça ne l'intéresse pas de le savoir. Toute fois, une chose la préoccupe beaucoup ces temps ci, depuis toujours en réalité, mais plus depuis ces derniers jours. Peut-être que Earwen pourrait l'éclairer, elle lui demande donc:

>> Sais-tu pourquoi est-ce que nous devons nous méfiez des humains?

Elle ne comprend tout simplement pas pourquoi est-ce que on ne peut pas les " fréquenter ". Elle estime que Earwen doit avoir plus ou moins le même âge qu'elle, a ses traits du moins.

Earwen est assez vieille malgré ses traits fin, elle est agée de plus de cent ans. Amayelle semblait préoccupée, l'elfe crut voir les même traits qu'elle il y a fort longtemps, le jour où elle est tombée amoureuse d'un humain. Passé qu'elle préférerait oublié. Les traits de l'elfe s'adoucir le plus possible, comprenant le cas de l'elfe en face d'elle. Earwen descendit de son cheval et le laisa faire ce qu'il voulut en lui disant dans la langue des elfes, puis elle s'approcha plus près de Amayelle, quand celle-ci lui demanda pourquoi les elfes se méfiaient des humains, Earwen répondit avec une fois des plus infinement douce.

- Les humains sont prêt à tout détruire pour avoir d'autre forteresses, d'autre bâtiments, d'autre villaga, ils ne peuvent ressentir ce que la nature ressent, ce qui fait aussi de nous des être unique, nous aidons les animaux qui sont chassés de chez eux par cause des humains. Et par mon passé je peux te dire qu'il mourra plus vite que toi, ton coeur ens era brisé, je n'essaye pas de joué au sage, c'est juste que j'ai moi même connu cela. Maintenant croit moi ou pas, mais les elfes ont une longue durée de vie, laisse le vivre heureux dans son monde, mais n'essaye pas de le revoir car plus tu le vois plus tu t'attaches et plus après sa sera dur quand il mourra, croit moi.

Earwen resta un instant près d'elle, la regardant dans les yeux. Elle avait juré de dire véritée, elle l'a dit. Il est impossible de mentir dans la langue des elfes, tout n'est que vérité. Après ce court échange de parole, Earwen se dirigea vers son cheval, se remit en amozone et regarde Amayelle attendant une réponse ou peut être pas.

Amayelle la regarde quand elle lui explique, soutenant son regard. * Comment a-t-elle deviner?* En effet, Earwen avait deviner son problème... Mais au moins, elle avait connu la même chose. Pourtant, elle n'arrivait pas a croire ce qu'elle lui disait, mais ça ne pouvait être que la vérité, car premièrement: on ne peut tout simplement pas mentir lorsqu'on parle en elfique, puisqu'il s'agit du langage de la vérité, et deuxièmement, ça expliquerait pourquoi est-ce qu'on lui a toujours répété de se méfier des humains. Mais quand elle pense a celui qu'elle aime, elle n'arrive pas à croire qu'il fait parti de ce peuple... Mais l'elfe à rajouter dans sa tête une autre préoccupation: il mourra avant elle, c'est inévitable. Et si comme elle le dit, elle va s'accrocher de plus en plus a lui, se sera douloureux... Mais elle ne peux pas envisager de ne plus le revoir, même si elle sait que serait bien mieux pour tout le monde, et eux pour commencer. Alors qu'elle réfléchissait à cela, elle avait par habitude tourner les yeux vers le bas. Elle releva donc la tête vers Earwen, qui était remontée sur le cheval et lui dit toujours aussi calmement malgré les nombreuses questions qu'elle se pose:

>> Mais comment pourrait-on ne plus le revoir si on l'aime?

A la question de Amayelle, l'elfe revit devant elle le corps de celui qu'elle aimait, personne ne devait faire la même erreur qu'elle. Earwen soupira, dur était le fait de savoir laisser partir son amour. Earwen regarda tristement Amayelle, elle aussi allait avoir le coeur brisé par cause d'un humain qu'elle à certainement voulu mieux connaitre. Earwen ne savait qu'elle désision était la meilleure. Infiniment trsite pour Amayelle, l'elfe fini tout de même par lui répondre après de longue minutes de silence.

- Ne fais pas la même erreur que moi, laisse le vivre heureux, cela vaut mieux pour toi, pour lui et pour notre peuple.

Elle fit partir son compagnon calmement au pas à travers les arbres et les fougères, les pas réguliers de l'étalon sur le sol de mousse et de feuilles morte ne faisait pratiquement aucun bruits, il était presque harmonieux d'entendre ce simple son rempli de délicatesse.

Amayelle ne répond rien, et Earwen fait partir son compagnon au pas, alors la jeune elfe ne dit rien et la laisse partir si elle le souhaite. Quand a elle, elle se laisse tomber assise contre un arbre, et pose son arc et son carquois a côté d'elle. Elle appuie son dos contre l'arbre, et commence a réfléchir aux paroles de Earwen. Le problème, c'est qu'elle a raison. Elle essaye par tous les moyens de trouver une solution, de se dire que ce n'est pas si grave qu'elle aime un humain, mais elle n'y arrive pas. Elle replie donc ses jambes contre elle, passe ses bras autour de ses genoux et se met a pleurer en silence, ne voulant pas qu'on l'entende. Même les oiseaux encore si joyeux il y a quelques minutes intérompirent leur chant, et le silence s'installa dans cette partie de la forêt...

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Ben se baladait tranquillement, cacher sous une cape, parce que sinon il est mal, si il croise des elfes. Tout en pensant a Amayelle, Ben refléchissait a une solution pour leur gros problème. Il croisa un elfe a cheval et baissa la tête, pour ne pas se faire repéré. Puis, plus loin, il vit quelqu'un en boule, s'en approcha et vit Amayelle. Il alla vers elle, d'un pas précipité, et ne dit rien. Arrivé a sa hauteur, il la prend dans ses bras et lui dit:

-Qu'est-ce que tu as?

IL ne dit rien, et commence a la bercer doucement

Tout en marchant entre les arbres, Earwen croisa quelque elfes, tous posèrent deux doigts à leurs lèvres quand il la croisaient et elle leur rendait leur signe. La politesse avant tout. Plus loin, elle croisa un autre, celui-ci ne porta pas deux doigts à ses lèvres comme le veut la tradition, celui-ci baissa la tête comme si il était honteux, fronçant ses fins sourcils, l'elfe fit tourné son cheval à l'aide de ses jambes et retourna sur ses pas. Humain. Il ne pouvait être que sa, certainement l'humain que Amayelle fréquente ces derniers temps. Earwen mit son compagnon au trot, et ensemble ils suivirent cet humain. Ils arrivèrent à l'endroit où se tenait Amayelle, replié sur elle même, pleurant silencieusement, son chagrin ne faisait que commencer. Earwen regarda les deux un instant puis, toujours à cheval, arriva à son tour dans la petite clairière sous la lumière de lune, ses traits était tout souf chaleureux, les traits de son visage montrait qu'elle était furieuse. Elle resta à cheval, prit son arc, encocha une flèche et déclara d'une voix envoûtante tout en parlant sa langue qu'est l'elfique, histoire de bien terrorisé l'humain.

- A présent Amayelle, c'est toi qui choisit, soit c'est moi qui le tue, soit c'est toi.

Alors qu'elle continuait de pleurer, elle sent qu'on la prend dans ses bras, la faisant légèrement sursauter, puis elle entend la voix de Ben. Elle relève donc la tête et le regarde avec des yeux mouillés, tristes, mais surtout inquiète sur le moment, et sans répondre a sa question elle lui dit:

>> Mais t'es fou de venir ici!

Elle sait que a cette heure ci des elfes aiment venir se promener, mais c'est la nuit, et certains ne sont pas des plus tendres... Et d'ailleurs, quelques instants après elle entend la voix de Earwen, et elle parle en elfique donc Ben ne la comprend. Elle lève la tête vers elle et lui dit en elfique à son tour:

>> Non ne le tue pas!

Elle resserre ses bras autour de Ben, et la regarde. Elle ne veut pas qu'il meurt!

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Ben sert Amayelle contre lui et dit:

-Je me suis encore perdu

Il ne dit rien de plus et la berce doucement. Puis il entend une voix dans une autre langue, certainement de l'elfique, donc il ne comprend rien. Il regarde la jeune elfe, et ne dit rien. Traits dur ornaient sont visage, normalement si doux, mais ce n'est pas elle qui allait faire peur a Ben, les raisons du coeur sont bien plus grandes que la raison. Il essuye doucement les larmes d'Amayelle et ne dit rien, près a affronter la mort si il le faut

Earwen regarda durement l'humain qui ne la craignait pas, tant pis pour lui, il ne sait pas à quel point il fait dix foix plus souffrir Amayelle qu'une humaine. Elle resta les traits dur, quand Amayelle lui dit de ne pas le tuer, Earwen baissa légèrement son arc, détendit légèrement la corde de l'arc et répondit à la jeune elfe dans la langue des humains pour bien faire comprendre à cet humain monstrueux qu'il était en danger.

- Alors c'est à toi de le tuer.

Earwen garda les traits dur, d'autre elfes arrivèrent alerter par les cris qu'il y avait. L'humain était seul face à de nombreux elfes, soit à cheval, soit à pieds, l'épée en main ou l'arc prêt à tiré. Tous étaient prêt au combat, d'une manière ou d'une autre, un elfe finira par tiré si Amayelle ne se décide pas.

Amayelle voit arriver des elfes de partout, épée en main, arc tendu, et quand Earwen lui dit que alors c'est a elle de le tuer, elle secoue la tête, obstinée et dit:

>> Je peux pas faire ça!!

Elle continue de serrer Ben, sans le regarder pour le moment, mais elle ne sait pas quoi faire. Elle sait que certains n'hésiterons pas a tirer. Peut-être que si elle reste bien entre lui et les autres elfes ils ne tireront pas, de peur de la toucher elle... Enfin, elle est désespérée sur le moment. En regardant les elfes autour d'eux, elle en reconnaît plusieurs, et puis dans un coin reculé elle y voit son père. Elle sait combien elle doit le décevoir, elle ne voulait pas qu'il saches... Elle retient ses larmes, et regarde un moment son père, puis elle finit par arrêter de le regarder, et se tourne vers Earwen.

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Ben ne dit rien, mais n'en pense pas moins cette elfe. Il regarde Amayelle et ne dit rien, le voila cerné, soit ilmeur, soit il est en vie, dur dilem...Il les regarde tour a tour et ne dit rien, sentant Amayelle qui le sert contre elle, il a un soupir de soulagement, il sais bien qu'elle ne va pas l'abandonner, a son sort parmis tout ses elfes, tirait une flèche, il serait en droit de riposter, pour sa vie! Enfin temps qu'ils n'en tire pas, il n'en tire pas
Il regarde la jeune elfe, en blanc et ne dit rien, même si ses traits dur, peuvent vous glacer le sang il ne dit rien, et la regarde, si elle doit le tuer, qu'elle le face, qu'elle ne soit pas lache

Earwen regarda la jeune elfe, puis l'humain, quand Amayelle lui répondit qu'elle ne peut pas faire sa, Earwen lui répondit tout en retendant la crode de son arc.

- Soit. Se sera donc moi.

Earwen visa plus ou moins, histoire d'effrayer cet humain avant qu'il n'essaye de fuir certainement. L'elfe lâcha la flèche qui blessa l'humain au bras, on pouvait déjà voir le haut de sa tunique s'empourprer avec le rouge de son sang. L'elfe encocha une deuxième flèche attendit quelque secondes histoire de savoir si Amayelle va trahir les siens ou que cet humain ne parte.

Amayelle voit la flèche partir et blesser Ben. Elle dit donc a Earwen:

>> Pourquoi tu veux le tuer?!

Elle regarde le bras de Ben, blesser, et sent les larmes lui monter aux yeux mais elle les retient, et regarde a nouveau Earwen, et la regarde dans les yeux. Elle se sent en colère contre elle même, pourquoi il a fallu qu'elle aime un humain? Elle ne sait pas quoi faire, ils sont trop nombreux... Elle sait qu'elle est entrain de trahir son peuple en refusant de le tuer, mais elle ne peux tout simplement pas se résigner a le tuer.

Admin Messages : 730 Date d'inscription : 12/06/2009

Ben répond a la place de la jeune elfe=

-Je suis un humain...

Puis sentant une flèche, venir se mettre dans son bras, il fait une grimace, l'enlève d'un coup, et voit du sang.Son sang, mais ca ne lui fait rien. Il regarde toujours les elfes, ils sont nombreux, et ils n'hesiterons pas a le tuer. Ben regarde Amayelle et dit:

-Je vais m'en aller, pour ne pas te causer de problème et me faire tuer

Il ne dit rien, lui fait un bisou, par habitude et s'en va

Il partit. Earwen regarda quelque elfes se diriger dans la direction qu'il venait de prendre, ils vont le tuer, pourtant il faudrait que Amayelle lui parle et lui dise uen fois pour toute que un humain et une elfe ne sont pas fait pour s'aimer, que jamais sa ne pourrait aller. Elle aussi aurait du lui parler avant de le tuer, mais elle était encore trop jeune, et bien trop stupide envers le monde. L'elfe lança son cheval au galop, la frontière était au moins à quelque kilomètres d'ici, les elfes savent courir vite mais pas plus vite que leur chevaux, Earwen poussa son cheval au galop, arriver à la hauteur de cet humain, elle lui tendit le bras.

- Voudrais-tu lui parler une dernière fois ou mourir face aux autres elfes ?

Elle ne lui laissa pas le choix, elle le monta à l'arrière sur la croupe de son fier destrier, si elle faisait ceci ce n'est pas par émotions, c'est parce qu'il le fallait pour qu'il ait encore une chance de pouvoir vivre, mais pour sa il devra accepter de partir loin de Amayelle, la laisser vivre sa vie. Le laissant s'accrocher comme il voulait, l'elfe s'adressait en elfique à son cheval, elle lui dit de courir plus vite que le vent, plus rapide qu'un éclair car une vie en dépendait. Le cheval obéit aussitôt, et ainsi commença cette course dans la forêt.

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Ben ne dit rien, et monta derrière l'elfe, il mit ses mains a ses hanches, et laissa le cheval aller jusqu'a Amayelle, mais ce n'est pas pour ca qu'il va se resigner a ne plus la voir, il l'aime alors il trouvera un moyen de venir la voir. Puis après une longue course dans la foret, ils finissent par arrivés. Il descend du cheval, va vers Amayelle, la prend dans ses bras et lui dit a l'oreille:

-Je t'aime

Il lui fait un bisou, la regarde dans les yeux, et se demande comment il pourra faire sans la voir a nouveau

Amayelle le voit partir, et des autres elfes le suivent, elle se leva pour essayer de le rattraper, car sinon il est perdu, mais un elfe l'en empêcha. Son père était parti avec pour tuer Ben. Elle se dit que cette fois c'était fini, elle ne le reverrait plus... Puis, elle voit le cheval revenir, avec Earwen et Ben dessus. Elle ne comprit pas fort pourquoi elle le ramenait, mais elle n'en dit rien. Il la prend dans ses bras, alors elle le serre et lui dit tout bas:

>> Il... Il ne faut plus qu'on se voit, c'est mieux pour toi, pour moi, pour tout le monde. Je pensais que ça pourrait marcher mais...

Elle n'en revient pas de ce qu'elle dit, comment pourrait-elle ne plus le revoir? C'est tout simplement absurde de ne serais-ce que songer a ne plus le revoir... Mais elle se force, et recula pour se défaire de ses bras.

Earwen restait en selle, prête à tout moment de partir, prête à tout moment de reprendre cet humain et de le ramener à la frontière où il serait plus ou moins en sécurité. Dés qu'il eurent fini de parler, Earwen les coupa d'une voix tranchante de froide.

- Ne la revoit pas, c'est juste un conseil sauf si tu veux mourir !

Elle les regarda tour à tour, le regard froid, les elfes arrivèrent à nouveaux, Earwen siffla l'air méchant et aussi pour attirer l'attention de cet humain, car il est plus que l'heure de partir.

Admin Messages : 730 Date d'inscription : 12/06/2009

Ben la regarde et quand elle lui dit ce qu'elle lui dit, il est abattu et ne dit rien, il ne pourrait jamais ne jamais la revoir, c'est impossible plus lui. Il lui dit alors doucement:

-Moi sans te voir c'est impossible...Alors même si il faut je brave les elfes, mais je veux te voir...

Il ne dit rien de plus, lui fait un bisou, regarde les elfes et s'en va. Se doutant qu'il va se faire attaquer. Il ne dit rien, et retient des larmes, ils ont beaux penser ce qu'ils veulent les elfes, les humains ont un coeur, et Ben encore plus sensible que les autres. Marchant comme l'ombre de lui même dans la foret, il se demande comment Amayelle a put dire ce qu'elle vient de lui dire, elle ne l'aimait peut-être pas tant que ca, pourtant, lui si!

Amayelle regarde Ben et voit bien qu'il est abattu, mais il faut qu'il parte, même si ça lui brise le coeur, et a elle aussi. Elle le regarde partir, les larmes aux yeux, mais si il restait, elle sait qu'il serait déjà mort... Elle pense qu'elle a prit la bonne décision, mais c'est encore plus douloureux que ce qu'elle pensait. * Désolée... * Une excuse silencieuse, mais c'est trop tard maintenant... Elle regarde toujours dans la direction où il s'est enfoncer dans la forêt, où il a disparu...